








« Plans, coupes et élévation de la Porte de Sarrebourg » (Moselle).
Encre de Chine et lavis d’encres noire, verte et rose. 47,2 x 95,6 cm, dans un cadre moderne de 63 x 112 cm. Dessin doublé (plusieurs feuilles assemblées).
Feuille composée de six dessins, avec la légende sur un rouleau en trompe-l’œil : « N° 1. Élévation de la Porte. – 2. Coupe sur la ligne AB. – 3. Coupe sur la ligne CD. – 4. Plan inférieur. – 5. Plan à vol d’oiseau. » et en bas à droite : « Profil de l’imposte ».
La ville de Sarrebourg, située entre Nancy et Strasbourg, fut dotée au XIIIe siècle de remparts, constitués de 28 tours et quatre portes. La porte de notre dessin est la Porte de France qui a été élevée tardivement, à l’ouest de la ville, suite à la construction du pont sur la Sarre en 1785 (à l’endroit des actuelles Avenue de France et Grand Rue). Il s’agissait alors de l’entrée principale de Sarrebourg.
« Il est déjà fait mention d’une porte de France en 1689. Celle-ci construite en 1822, est démolie en 1893 pour faciliter la circulation en ville. Les pierres serviront à la construction de l’étage au-dessus des halles. » (Site Internet de la ville de Sarrebourg).
Bibliographie : Gérard Giuliato, Nicolas Meyer, Sébastien Jeandemange et Bruno Schœser. « Sarrebourg (Moselle) ». In. Archéologie des enceintes urbaines et de leurs abords en Lorraine et en Alsace (XIIe-XVe siècle), (Yves Henigfeld et Amaury Masquilier, dir.), Revue archéologique de l’Est, vingt-sixième supplément (Dijon, Artehis, 2008).
Encre de Chine et lavis d’encres noire, verte et rose. 47,2 x 95,6 cm, dans un cadre moderne de 63 x 112 cm. Dessin doublé (plusieurs feuilles assemblées).
Feuille composée de six dessins, avec la légende sur un rouleau en trompe-l’œil : « N° 1. Élévation de la Porte. – 2. Coupe sur la ligne AB. – 3. Coupe sur la ligne CD. – 4. Plan inférieur. – 5. Plan à vol d’oiseau. » et en bas à droite : « Profil de l’imposte ».
La ville de Sarrebourg, située entre Nancy et Strasbourg, fut dotée au XIIIe siècle de remparts, constitués de 28 tours et quatre portes. La porte de notre dessin est la Porte de France qui a été élevée tardivement, à l’ouest de la ville, suite à la construction du pont sur la Sarre en 1785 (à l’endroit des actuelles Avenue de France et Grand Rue). Il s’agissait alors de l’entrée principale de Sarrebourg.
« Il est déjà fait mention d’une porte de France en 1689. Celle-ci construite en 1822, est démolie en 1893 pour faciliter la circulation en ville. Les pierres serviront à la construction de l’étage au-dessus des halles. » (Site Internet de la ville de Sarrebourg).
Bibliographie : Gérard Giuliato, Nicolas Meyer, Sébastien Jeandemange et Bruno Schœser. « Sarrebourg (Moselle) ». In. Archéologie des enceintes urbaines et de leurs abords en Lorraine et en Alsace (XIIe-XVe siècle), (Yves Henigfeld et Amaury Masquilier, dir.), Revue archéologique de l’Est, vingt-sixième supplément (Dijon, Artehis, 2008).
Encre de Chine et lavis d’encres noire, verte et rose. 47,2 x 95,6 cm, dans un cadre moderne de 63 x 112 cm. Dessin doublé (plusieurs feuilles assemblées).
Feuille composée de six dessins, avec la légende sur un rouleau en trompe-l’œil : « N° 1. Élévation de la Porte. – 2. Coupe sur la ligne AB. – 3. Coupe sur la ligne CD. – 4. Plan inférieur. – 5. Plan à vol d’oiseau. » et en bas à droite : « Profil de l’imposte ».
La ville de Sarrebourg, située entre Nancy et Strasbourg, fut dotée au XIIIe siècle de remparts, constitués de 28 tours et quatre portes. La porte de notre dessin est la Porte de France qui a été élevée tardivement, à l’ouest de la ville, suite à la construction du pont sur la Sarre en 1785 (à l’endroit des actuelles Avenue de France et Grand Rue). Il s’agissait alors de l’entrée principale de Sarrebourg.
« Il est déjà fait mention d’une porte de France en 1689. Celle-ci construite en 1822, est démolie en 1893 pour faciliter la circulation en ville. Les pierres serviront à la construction de l’étage au-dessus des halles. » (Site Internet de la ville de Sarrebourg).
Bibliographie : Gérard Giuliato, Nicolas Meyer, Sébastien Jeandemange et Bruno Schœser. « Sarrebourg (Moselle) ». In. Archéologie des enceintes urbaines et de leurs abords en Lorraine et en Alsace (XIIe-XVe siècle), (Yves Henigfeld et Amaury Masquilier, dir.), Revue archéologique de l’Est, vingt-sixième supplément (Dijon, Artehis, 2008).
Réf. 1138 – Cat. 9-72, 13-37