


(Tissage). Souvenir de l’Exposition universelle de Londres, 1862.
Tissage sur soie. 31,5 x 19 cm à vue, dans un cadre de 53 x 40,2 cm. Rousseurs sur le tissage et sur la marie‑louise.
L’Exposition universelle de 1862 est la troisième Exposition universelle, après celles de Londres en 1851 et Paris en 1855. Organisée par la Royal Society, elle se tint dans un vaste bâtiment de briques, de fer et de verre, construit par l’architecte Francis Fowke dans les jardins de South Kensington.
Le palais de l’exposition est ici représenté dans un cercle de blasons et de feuillages, avec en bas, au centre, les armoiries royales et leur devise « Honi soit qui mal y pense ».
Tissage sur soie. 31,5 x 19 cm à vue, dans un cadre de 53 x 40,2 cm. Rousseurs sur le tissage et sur la marie‑louise.
L’Exposition universelle de 1862 est la troisième Exposition universelle, après celles de Londres en 1851 et Paris en 1855. Organisée par la Royal Society, elle se tint dans un vaste bâtiment de briques, de fer et de verre, construit par l’architecte Francis Fowke dans les jardins de South Kensington.
Le palais de l’exposition est ici représenté dans un cercle de blasons et de feuillages, avec en bas, au centre, les armoiries royales et leur devise « Honi soit qui mal y pense ».
Tissage sur soie. 31,5 x 19 cm à vue, dans un cadre de 53 x 40,2 cm. Rousseurs sur le tissage et sur la marie‑louise.
L’Exposition universelle de 1862 est la troisième Exposition universelle, après celles de Londres en 1851 et Paris en 1855. Organisée par la Royal Society, elle se tint dans un vaste bâtiment de briques, de fer et de verre, construit par l’architecte Francis Fowke dans les jardins de South Kensington.
Le palais de l’exposition est ici représenté dans un cercle de blasons et de feuillages, avec en bas, au centre, les armoiries royales et leur devise « Honi soit qui mal y pense ».
Réf. 1707-a – Cat. 13-93