


Constant Coursimault. Relevé d'une balustrade du château de Pierrefonds (Oise), (1897).
Mine de plomb et lavis. 44 x 57,5 cm. Petites déchirures sans manque au coin inférieur-gauche. Rousseurs.
Signé en bas à droite : « C. Coursimault, 1897 ».
Constant Coursimault (1879-1952) a essentiellement travaillé à Orléans et dans le Loiret, notamment dans le secteur privé.
Il y a fort à penser que notre dessin d’une balustrade du château de Pierrefonds soit un relevé dans le cadre de ses études (il n’a alors que 18 ans).
Constant Coursimault a reçu en 1920 le prix Rougier de l’Académie des Beaux‑arts pour ses relevés d’architecture de l’abbatiale de Saint‑Benoît‑sur‑Loire.
Mine de plomb et lavis. 44 x 57,5 cm. Petites déchirures sans manque au coin inférieur-gauche. Rousseurs.
Signé en bas à droite : « C. Coursimault, 1897 ».
Constant Coursimault (1879-1952) a essentiellement travaillé à Orléans et dans le Loiret, notamment dans le secteur privé.
Il y a fort à penser que notre dessin d’une balustrade du château de Pierrefonds soit un relevé dans le cadre de ses études (il n’a alors que 18 ans).
Constant Coursimault a reçu en 1920 le prix Rougier de l’Académie des Beaux‑arts pour ses relevés d’architecture de l’abbatiale de Saint‑Benoît‑sur‑Loire.
Mine de plomb et lavis. 44 x 57,5 cm. Petites déchirures sans manque au coin inférieur-gauche. Rousseurs.
Signé en bas à droite : « C. Coursimault, 1897 ».
Constant Coursimault (1879-1952) a essentiellement travaillé à Orléans et dans le Loiret, notamment dans le secteur privé.
Il y a fort à penser que notre dessin d’une balustrade du château de Pierrefonds soit un relevé dans le cadre de ses études (il n’a alors que 18 ans).
Constant Coursimault a reçu en 1920 le prix Rougier de l’Académie des Beaux‑arts pour ses relevés d’architecture de l’abbatiale de Saint‑Benoît‑sur‑Loire.
Réf. 1025 – Cat. 10-129