Charles-Frédéric Chassériau. Palais de justice d’Alger. Ensemble de sept dessins et deux photographies.
a) Élévation de la façade et plan-masse du rez-de-chaussée. Plume et lavis d’encres noire et rose. 57 x 42,7 cm. Pliure horizontale.
Titre sur le côté gauche : « Esquisse rectifiée dans un autre style ». Inscription sous le couronnement de la partie centrale du bâtiment : « Palais de Justice ». Le plan-masse montre une fontaine au milieu de la cour intérieure.
b) Élévation de la façade. Plume. 14,7 x 21,4 cm.
Inscription sous le couronnement de la partie centrale du bâtiment : « Palais de Justice ».
Dessin à rapprocher du précédent, duquel il diffère par plusieurs éléments, notamment la présence d’une coupole.
c) Élévation d’un bâtiment sur cour avec une fontaine. Plume et lavis d’encre noire. 26,8 x 55,7 cm. Dessin collé par les coins sur une feuille de mêmes dimensions. Coins supérieurs usés.
Plusieurs éléments architecturaux nous font rapprocher ce dessin du dessin [a].
d) Coupe d’un bâtiment sur cour avec une fontaine. Plume et lavis d’encre rose. 36,1 x 57,5 cm. Dessin collé par les coins sur une feuille de mêmes dimensions. Petites déchirures sans gravité aux bords latéraux.
Plusieurs éléments architecturaux nous font rapprocher ce dessin des dessins précédents.
e) « Coupe transversale sur MN ». Plume et lavis d’encre rose. 19,6 x 32,5 cm. Quatre lettres lacunaires au coin supérieur droit nous laissent penser que ce dessin a été coupé d’une feuille plus grande.
Au crayon en haut à droite : « Palais de justice pour Alger ».
f) « Façade sur la rue du Laurier ». Plume. 16,4 x 29,5 cm.
Mention manuscrite à l’encre au-dessus du titre (sous le dessin) : « Palais de justice pour Alger ».
g) « Coupe longitudinale du Palais de justice pour Alger ». Plume et lavis d’encres noire et rose. 16,2 x 29,2 cm. Titre manuscrit à l’encre sous le dessin et reprise au crayon en haut.
h) Photographie d’un dessin : « Palais de justice, Façade principale ». Tirage de 9 x 13 cm, contrecollé sur carton de 15,3 x 23,9 cm.
Le dessin est signé en bas à droite : « Dressé à Alger par l’architecte soussigné, d’après le projet approuvé le 18 mai 1865 par sa majesté l’Empereur, C. Chassériau ».
i) Photographie du même projet. Tirage de 9 x 16 cm, contrecollé sur carton de 15 x 23,8 cm.
Tirage plus contrasté que le précédent, sans inscriptions sur le dessin.
Les plans de Chassériau pour la construction d’un palais de justice à Alger ont été soumis à Napoléon III en mai 1865, peu de temps après l’inauguration du boulevard de l’Impératrice et de l’aménagement du front de mer. L’empereur approuve les plans et félicite Chassériau pour son travail, mais malgré cela, le projet fut abandonné par la suite. Des plans de ce projet du palais de justice sont conservés au musée des Beaux-arts d’Alger (donation des Amis de Chassériau en 2014). Le palais de justice sera finalement construit entre 1876 et 1883 par l’architecte Jean-Paul Gion.
Joint : Éléments de façade à motifs orientalistes. Plume, mine de plomb et aquarelle sur calque. 33,5 x 24,4 cm, collé sur papier fort (34,5 x 26 cm). Déchirures et manques.
a) Élévation de la façade et plan-masse du rez-de-chaussée. Plume et lavis d’encres noire et rose. 57 x 42,7 cm. Pliure horizontale.
Titre sur le côté gauche : « Esquisse rectifiée dans un autre style ». Inscription sous le couronnement de la partie centrale du bâtiment : « Palais de Justice ». Le plan-masse montre une fontaine au milieu de la cour intérieure.
b) Élévation de la façade. Plume. 14,7 x 21,4 cm.
Inscription sous le couronnement de la partie centrale du bâtiment : « Palais de Justice ».
Dessin à rapprocher du précédent, duquel il diffère par plusieurs éléments, notamment la présence d’une coupole.
c) Élévation d’un bâtiment sur cour avec une fontaine. Plume et lavis d’encre noire. 26,8 x 55,7 cm. Dessin collé par les coins sur une feuille de mêmes dimensions. Coins supérieurs usés.
Plusieurs éléments architecturaux nous font rapprocher ce dessin du dessin [a].
d) Coupe d’un bâtiment sur cour avec une fontaine. Plume et lavis d’encre rose. 36,1 x 57,5 cm. Dessin collé par les coins sur une feuille de mêmes dimensions. Petites déchirures sans gravité aux bords latéraux.
Plusieurs éléments architecturaux nous font rapprocher ce dessin des dessins précédents.
e) « Coupe transversale sur MN ». Plume et lavis d’encre rose. 19,6 x 32,5 cm. Quatre lettres lacunaires au coin supérieur droit nous laissent penser que ce dessin a été coupé d’une feuille plus grande.
Au crayon en haut à droite : « Palais de justice pour Alger ».
f) « Façade sur la rue du Laurier ». Plume. 16,4 x 29,5 cm.
Mention manuscrite à l’encre au-dessus du titre (sous le dessin) : « Palais de justice pour Alger ».
g) « Coupe longitudinale du Palais de justice pour Alger ». Plume et lavis d’encres noire et rose. 16,2 x 29,2 cm. Titre manuscrit à l’encre sous le dessin et reprise au crayon en haut.
h) Photographie d’un dessin : « Palais de justice, Façade principale ». Tirage de 9 x 13 cm, contrecollé sur carton de 15,3 x 23,9 cm.
Le dessin est signé en bas à droite : « Dressé à Alger par l’architecte soussigné, d’après le projet approuvé le 18 mai 1865 par sa majesté l’Empereur, C. Chassériau ».
i) Photographie du même projet. Tirage de 9 x 16 cm, contrecollé sur carton de 15 x 23,8 cm.
Tirage plus contrasté que le précédent, sans inscriptions sur le dessin.
Les plans de Chassériau pour la construction d’un palais de justice à Alger ont été soumis à Napoléon III en mai 1865, peu de temps après l’inauguration du boulevard de l’Impératrice et de l’aménagement du front de mer. L’empereur approuve les plans et félicite Chassériau pour son travail, mais malgré cela, le projet fut abandonné par la suite. Des plans de ce projet du palais de justice sont conservés au musée des Beaux-arts d’Alger (donation des Amis de Chassériau en 2014). Le palais de justice sera finalement construit entre 1876 et 1883 par l’architecte Jean-Paul Gion.
Joint : Éléments de façade à motifs orientalistes. Plume, mine de plomb et aquarelle sur calque. 33,5 x 24,4 cm, collé sur papier fort (34,5 x 26 cm). Déchirures et manques.
a) Élévation de la façade et plan-masse du rez-de-chaussée. Plume et lavis d’encres noire et rose. 57 x 42,7 cm. Pliure horizontale.
Titre sur le côté gauche : « Esquisse rectifiée dans un autre style ». Inscription sous le couronnement de la partie centrale du bâtiment : « Palais de Justice ». Le plan-masse montre une fontaine au milieu de la cour intérieure.
b) Élévation de la façade. Plume. 14,7 x 21,4 cm.
Inscription sous le couronnement de la partie centrale du bâtiment : « Palais de Justice ».
Dessin à rapprocher du précédent, duquel il diffère par plusieurs éléments, notamment la présence d’une coupole.
c) Élévation d’un bâtiment sur cour avec une fontaine. Plume et lavis d’encre noire. 26,8 x 55,7 cm. Dessin collé par les coins sur une feuille de mêmes dimensions. Coins supérieurs usés.
Plusieurs éléments architecturaux nous font rapprocher ce dessin du dessin [a].
d) Coupe d’un bâtiment sur cour avec une fontaine. Plume et lavis d’encre rose. 36,1 x 57,5 cm. Dessin collé par les coins sur une feuille de mêmes dimensions. Petites déchirures sans gravité aux bords latéraux.
Plusieurs éléments architecturaux nous font rapprocher ce dessin des dessins précédents.
e) « Coupe transversale sur MN ». Plume et lavis d’encre rose. 19,6 x 32,5 cm. Quatre lettres lacunaires au coin supérieur droit nous laissent penser que ce dessin a été coupé d’une feuille plus grande.
Au crayon en haut à droite : « Palais de justice pour Alger ».
f) « Façade sur la rue du Laurier ». Plume. 16,4 x 29,5 cm.
Mention manuscrite à l’encre au-dessus du titre (sous le dessin) : « Palais de justice pour Alger ».
g) « Coupe longitudinale du Palais de justice pour Alger ». Plume et lavis d’encres noire et rose. 16,2 x 29,2 cm. Titre manuscrit à l’encre sous le dessin et reprise au crayon en haut.
h) Photographie d’un dessin : « Palais de justice, Façade principale ». Tirage de 9 x 13 cm, contrecollé sur carton de 15,3 x 23,9 cm.
Le dessin est signé en bas à droite : « Dressé à Alger par l’architecte soussigné, d’après le projet approuvé le 18 mai 1865 par sa majesté l’Empereur, C. Chassériau ».
i) Photographie du même projet. Tirage de 9 x 16 cm, contrecollé sur carton de 15 x 23,8 cm.
Tirage plus contrasté que le précédent, sans inscriptions sur le dessin.
Les plans de Chassériau pour la construction d’un palais de justice à Alger ont été soumis à Napoléon III en mai 1865, peu de temps après l’inauguration du boulevard de l’Impératrice et de l’aménagement du front de mer. L’empereur approuve les plans et félicite Chassériau pour son travail, mais malgré cela, le projet fut abandonné par la suite. Des plans de ce projet du palais de justice sont conservés au musée des Beaux-arts d’Alger (donation des Amis de Chassériau en 2014). Le palais de justice sera finalement construit entre 1876 et 1883 par l’architecte Jean-Paul Gion.
Joint : Éléments de façade à motifs orientalistes. Plume, mine de plomb et aquarelle sur calque. 33,5 x 24,4 cm, collé sur papier fort (34,5 x 26 cm). Déchirures et manques.
Réf. 1430 – Cat. 10-12
![Charles-Frédéric Chassériau. Projet de plan pour l'asile des aliénés de Marseille [vers 1833-1845].](https://images.squarespace-cdn.com/content/v1/68168f3178bd424e6cd816f3/91fc7458-4af4-474e-905b-0a77210baaa3/10-8-Chass-Alienes.jpg)