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Catalogue en ligne Le Bagne de Brest. (École française du XVIIIe siècle).
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Le Bagne de Brest. (École française du XVIIIe siècle).

2 500,00 €

Encre de Chine et lavis d’encre grise. 31,8 x 71,2 cm à vue, dans un cadre de 40 x 79,5 cm. L’échelle est donnée en toises.

Le dessin, à proprement parler (élévation et plan-masse), est sur une feuille de 17,7 x 66 cm, contrecollée sur la feuille sur laquelle figurent l’encadrement noir et le titre (« Plan & Elévation de La Façade du Bagne du côté du Port. Bt. »).

Le bagne de Brest a été construit de 1749 à 1752 par Antoine Choquet de Lindu (1712‑1790), marin brestois, ingénieur et architecte, l’un des principaux constructeurs du port de Brest (cales de construction, casernes, hôpitaux, magasins, manufactures, digues, bassins, etc.). Antoine Choquet de Lindu a écrit l’article consacré aux bagnes dans l’Encyclopédie de Diderot et D’Alembert.

Deuxième bagne de France en terme de capacité après celui de Toulon, ce bâtiment de plus de 250 mètres de longueur fut démoli après la Seconde Guerre mondiale lors de la reconstruction de Brest. Très novateur en son temps, tant du point de vue de la sécurité que de l’hygiène, le bagne de Brest est décrit dans l’ouvrage de son architecte Antoine Choquet de Lindu : « Description du bagne, pour loger à terre, les galériens ou forçats de l’arsenal de Brest. Projeté, bâti, dessiné et gravé. » Brest, R. Malassis, 1759. Ouvrage devant se trouver réuni avec : « Description des trois formes de port de Brest, bâties, dessinées et gravées en 1757 ». Brest, R. Malassis, 1757, in-plano. (Cf. Polak, 1732).

Notre dessin présente treize piliers de renforts sur l’aile gauche qui ne sont pas représentés sur l’élévation gravée de cette même façade dans l’ouvrage de 1757, ni sur celle dans le volume de planches du Supplément de l’Encyclopédie en 1777. À l’inverse, notre dessin ne montre aucun contrefort sur l’aile droite, alors que les quelques photographies que nous avons pu voir en laissent voir quatre (et bien treize à gauche). Il y a fort à penser que ces contreforts aient été ajoutés progressivement pour consolider le bâtiment et que notre dessin ait été réalisé entre la construction des treize contreforts de gauche et celle des quatre contreforts de droite.

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Encre de Chine et lavis d’encre grise. 31,8 x 71,2 cm à vue, dans un cadre de 40 x 79,5 cm. L’échelle est donnée en toises.

Le dessin, à proprement parler (élévation et plan-masse), est sur une feuille de 17,7 x 66 cm, contrecollée sur la feuille sur laquelle figurent l’encadrement noir et le titre (« Plan & Elévation de La Façade du Bagne du côté du Port. Bt. »).

Le bagne de Brest a été construit de 1749 à 1752 par Antoine Choquet de Lindu (1712‑1790), marin brestois, ingénieur et architecte, l’un des principaux constructeurs du port de Brest (cales de construction, casernes, hôpitaux, magasins, manufactures, digues, bassins, etc.). Antoine Choquet de Lindu a écrit l’article consacré aux bagnes dans l’Encyclopédie de Diderot et D’Alembert.

Deuxième bagne de France en terme de capacité après celui de Toulon, ce bâtiment de plus de 250 mètres de longueur fut démoli après la Seconde Guerre mondiale lors de la reconstruction de Brest. Très novateur en son temps, tant du point de vue de la sécurité que de l’hygiène, le bagne de Brest est décrit dans l’ouvrage de son architecte Antoine Choquet de Lindu : « Description du bagne, pour loger à terre, les galériens ou forçats de l’arsenal de Brest. Projeté, bâti, dessiné et gravé. » Brest, R. Malassis, 1759. Ouvrage devant se trouver réuni avec : « Description des trois formes de port de Brest, bâties, dessinées et gravées en 1757 ». Brest, R. Malassis, 1757, in-plano. (Cf. Polak, 1732).

Notre dessin présente treize piliers de renforts sur l’aile gauche qui ne sont pas représentés sur l’élévation gravée de cette même façade dans l’ouvrage de 1757, ni sur celle dans le volume de planches du Supplément de l’Encyclopédie en 1777. À l’inverse, notre dessin ne montre aucun contrefort sur l’aile droite, alors que les quelques photographies que nous avons pu voir en laissent voir quatre (et bien treize à gauche). Il y a fort à penser que ces contreforts aient été ajoutés progressivement pour consolider le bâtiment et que notre dessin ait été réalisé entre la construction des treize contreforts de gauche et celle des quatre contreforts de droite.

Encre de Chine et lavis d’encre grise. 31,8 x 71,2 cm à vue, dans un cadre de 40 x 79,5 cm. L’échelle est donnée en toises.

Le dessin, à proprement parler (élévation et plan-masse), est sur une feuille de 17,7 x 66 cm, contrecollée sur la feuille sur laquelle figurent l’encadrement noir et le titre (« Plan & Elévation de La Façade du Bagne du côté du Port. Bt. »).

Le bagne de Brest a été construit de 1749 à 1752 par Antoine Choquet de Lindu (1712‑1790), marin brestois, ingénieur et architecte, l’un des principaux constructeurs du port de Brest (cales de construction, casernes, hôpitaux, magasins, manufactures, digues, bassins, etc.). Antoine Choquet de Lindu a écrit l’article consacré aux bagnes dans l’Encyclopédie de Diderot et D’Alembert.

Deuxième bagne de France en terme de capacité après celui de Toulon, ce bâtiment de plus de 250 mètres de longueur fut démoli après la Seconde Guerre mondiale lors de la reconstruction de Brest. Très novateur en son temps, tant du point de vue de la sécurité que de l’hygiène, le bagne de Brest est décrit dans l’ouvrage de son architecte Antoine Choquet de Lindu : « Description du bagne, pour loger à terre, les galériens ou forçats de l’arsenal de Brest. Projeté, bâti, dessiné et gravé. » Brest, R. Malassis, 1759. Ouvrage devant se trouver réuni avec : « Description des trois formes de port de Brest, bâties, dessinées et gravées en 1757 ». Brest, R. Malassis, 1757, in-plano. (Cf. Polak, 1732).

Notre dessin présente treize piliers de renforts sur l’aile gauche qui ne sont pas représentés sur l’élévation gravée de cette même façade dans l’ouvrage de 1757, ni sur celle dans le volume de planches du Supplément de l’Encyclopédie en 1777. À l’inverse, notre dessin ne montre aucun contrefort sur l’aile droite, alors que les quelques photographies que nous avons pu voir en laissent voir quatre (et bien treize à gauche). Il y a fort à penser que ces contreforts aient été ajoutés progressivement pour consolider le bâtiment et que notre dessin ait été réalisé entre la construction des treize contreforts de gauche et celle des quatre contreforts de droite.

Réf. 701 – Cat. 6-28

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